Aujourd’hui encore du vent nord avec des éclaircis et du soleil en après-midi, même si le ciel est incertain. (inclure photo 31 août 001) Ont décide de partir encore plus vers le sud. Je me prépare à lever l’ancre avec une motte d’algues de 50 lbs comme ça nous est arrivé au mouillage de l’Île Valcour et comme un autre voilier qui à quitté notre baie hier. Je lève l’ancre et nous n’avons qu’une grosse motte d’argile coincée dans la Bruce. J’avais mouillé du côté ouest de la baie dans 17 pieds d’eau comme recommandé dans notre guide plutôt que du côté est ou il y avais beaucoup d’algues bravo pour le guide cette fois-ci. En levant l’ancre j’ai constaté qu’elle n’avais pas décrochée pour se réancrer dans le sens opposé lorsque le vent à tourné du sud au nord hier et ce malgré du vent jusqu’à 19 nœuds, ce qui nous avais inquiété parce que si elle avais été pleine d’algues elle ne se serait pas réancrée adéquatement selon moi. Ceci pour dire que 40 pieds de chaîne 3/8 po couché sur le fond et 40 pieds de câblot ont tenu notre voilier de 10000lbs dans 17 pieds d’eau avec un vent de 19 nœuds sans solliciter l’ancre. Ont me demandera comment je savais que l’ancre n’avais pas tournée ? Habituellement, après avoir rentré le câblot et le mou de la chaîne je dois frapper la chaîne au taquet et décrocher l’ancre en faisant marche avant avec l’aide de notre ami Yanmar, cette fois-ci quand je suis arrivé au-dessus de l’ancre j’ai forcé un peu et j’ai sentis l’ ancre se décrocher assez facilement, parce que je la tirais à l’envers.
En quittant la baie vers le sud ont commence à se faire brasser comme prévus avec un vent nord et un courant nord, pour les amis qui ne savent pas le vent viens et le courant vas , c’est la convention donc un contre l’autre aujourd’hui ce qui crée des vagues déplaisantes. Ont sort le genois (plus grande des deux voiles avant) et ont file vent arrière jusqu’à 6.3 nœuds sur le fonds. Plus ont avance vers le sud et plus la largueur de la rivière diminue. Pour faire une histoire courte, ont termine notre randonnée toujours vent arrière parfois au grand large dans une vague de 3 à 4 pieds, " ÇA BRASSAIT PAS MAL " vent nord depuis 2 jours avec un fetch (longueur de Lac ou se bâtis la vague)de 100Mn. Nous sommes entré dans une marina pas trop bien protégé qui n ’avais pas de place (j’avais téléphoné parce qu’il n’écoutais pas sur la VHF selon le guide), et parce que nous ne trouvions pas l’autre marina ou nous voulions allez et qui ne répondais pas aux appels VHF ou au téléphone (parce qu’elle n’existe plus depuis 5 ans), nous l’avons appris plus tard, merde pour le guide " McKibben dernière édition ".
Nous sommes amarré au quai de service de Van Slooten Marina à Port Henry NY et je demande asile pour la nuit ou jusqu’à ce que les conditions se calme, le maître de port n’est pas trop sympathique mais il tolère jusqu’à ce que nous trouvions une alternative. Il y a une marina de l’autre côté de la rivière, environ 2 Mn à traversé dans ce merdier vent et courant de travers. Je n’avais pas considéré cette marina parce que le Guide mentionnais un haut fonds de 4 pieds d’eau à l’entré. L’eau est 2.5 pieds plus haut que le zéro des cartes mais quand même j’avais l’information écris sur la carte en cas de besoin et je les ai contacté pour entendre qu’il y avais jusqu’à 8 pieds d’eau dans le chenal balisé et qu’il y avais un quai de libre pour nous. Alors ont fait le plein de diésel, ont met les gilets et les harnais et ont part à l’assaut de la rivière. Notre voilier à traversé en se faisant brasser comme un bouchon mais sans problème, ont continus à prendre de l’expérience, malheureusement ont à pas de photos, la prochaine fois qu’ont se fait brasser nous en prendrons.
Il y a un petit restaurant à environ ¼ de mille alors ont décide de sortir souper, un petit " dinner " comme c’est appelé aux USA, avec environ 20 tables. Ont entrent dans une salle d ‘attente et ont s’inscris parce que les tables sont pleines et quand une table se libère ont viens nous chercher . Tout le monde semblaient se connaître et être des habitués de la place. Ont reviens pour écouter la télévision, Christine à acheté un logiciel qui viens avec une antenne pour capter des postes locaux sur l’ordinateur, raccordé un haut-parleur et voilà comme à la maison pour les nouvelles ou divertissement occasionnels.
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