Annapolis Boat Show

Le 11 octobre ont appel un "water taxi " sur la VHF 68 et ont attend dans le cockpit, un annexe s’approche de nous, ce sont les propriétaires d’un Bayfield 36 sur mooring dans la même baie que nous, ils voulaient nous saluer. Le taxi arrive mais nous promettons de nous revoir pour visiter nos voiliers.

Il fait très beau, une vraie journée d’été, c’est comme ça depuis notre départ, nous avons eu de la pluie seulement une journée à New York et une autre journée des averses dispersées, en général la température se maintien au-dessus de70ºF et aujourd’hui par moment nous avons approché 80 ºF. Ont descend à terre, ont achète les billets et ont se met en ligne pour le BoatShow. C’est notre troisième visites, nous étions venu en (2002 ou 2003) et en 2005 lors de l’achat de Kai Keiki. Ont sais que c’est gros et que c’est impossible de tout voir dans une seule journée, ont décide de donner priorité aux tentes et kiosques d’équipements et de laisser la visite de voiliers pour la fin si ont à le temps. Pendant que nous sommes en ligne d’attente nous rencontrons Nicole et Yvon sur Zenith rencontré précédemment à Waterford et durant la journée nous rencontrons d’autre amis Benoit et Lise de Solino qui ont fait le voyage vers les Bahamas l’an passé il sont venu au BoatShow en groupe organisé par autobus. La journée est très satisfaisante, ont ne dépenses pas trop d’argent mais j’ai une liste de petits items que j’irai acheter au magasin parce qu’il n’ont pas touts les items ici, surtout des promotions et des nouveautés selon l’espace disponible dans les kiosques. Nous décidons d’allez souper chez " Philllip’s " resto très bien quoté directement sur le port et dans les limites du BoatShow. Excellent repas et par la suite ont fait un petit détour pour une crème glacé, achat d’un bouteille de rum et renflouement de la réserve de bière puis ont revient prendre le water taxi vers notre maison flottante à 20 heures juste à temps pour le rendez-vous sur radio HF avec Jean-Pierre de Absaroque. Ils sont dans Back Creek ou sont également Yvon et Nicole sur Zenith. Nous avons essayé plusieurs contacts sur différentes fréquences mais cette fois-ci c’étais très clair et nous avons planifié se garder en contact par radio tout les soirs.

Pendant les jours qui suivent, ont bricolent, j’améliore la méthode d’attache de l’annexe pour réduire le balancement de côté sur le bossoir quand nous sommes en navigation, je commence à faire des options de routes sur la carte marine pour notre prochaine destination Norfolk en Virginie, ont peux traverser la Baie pour allé à St-Michaels, Oxford ou Cambridge et nous devrons par la suite faire plusieurs autres arrêts. Christine fait des montages de vidéo de notre voyage, ont discute de l’installation d’un pompe d’eau de mer près de l’évier de cuisine et nous partons chez l’inévitable West Marine ou j’achète le matériel nécessaire et un GPS 440 Garmin 440 avec écran couleur plus grand que mon GPS portable. C’est un deuxième système de " back up " étant donné que le lecteur de cartes et le GPS Raymarine fonctionne très bien et que nous avons un GPS portable, mais quand même faut bien se gâter un peu. Je dois également rebrancher les lumières de mi-mât et la lumière de pont qui ne s’allume pas, le connecteur est très petit et il y à peut-être un contact mal serré. Je doit remplacer la pompe de cale no 1, elle ne fonctionne plus. Lors de notre arrivé à Annapolis, j’ai remarqué que la lumière de la pompe était allumé et la pompe ne fonctionnait pas, la flotte à dû se coincer pendant que nous étions brassés par des vagues et elle est demeurée en position ouverte, la pompe à tourner à sec, le moteur à surchauffer et à rendu l'âme. Il y a très peu d’espace pour descendre la pompe dans la cale et je ne peux pas l’attacher au fond de la cale d’aucune façon, je vais remplacer le tuyau de renvoi pour le rallonger parce qu’il est un peu court en espérant que ça donnera plus de liberté de mouvement à la pompe et à la flotte et éviter que cette situation se reproduise. Il n’y a pas d’infiltration d’eau par la coque mis à part quand il pleut très fort, (je n’ai pas fini de refaire l’étanchéité du pont) ce n’est donc pas trop grave si la pompe de cale est hors d’usage quelques temps et j’avais installé une deuxième pompe plus puissante un peu plus haut dans la cale donc il y a un " back up " en cas d’infiltration accidentelles.

Le 15 octobre les amis de Absaroque passe nous prendre pour dîner au resto, par la suite ont avaient prévus s’aider mutuellement Jean-Pierre sur Kai Keiki pour examiner le problème de connexion du GPS portable à mon ordinateur et moi sur leur voilier pour essayer de faire fonctionner le modem avec la radio HF qui fonctionne très bien sur Kai Keiki .Ce matin ont avait réinstallé le programme de navigation Nobeltec espérant que le c’était lui qui bloquait le signal du GPS et ça n’avais pas fonctionné, quand Jean-Pierre était au côté de l’ordinateur, j’ouvre le GPS et Nobeltec et voilà que ça communique, ce matin j’avais redémarrer l’ordinateur, il aurait fallut que je ferme complètement l’alimentation, c’étais donc un problème causé par Nobeltec. Nous avons discuté des connections du GPS 440 car Jean-Pierre à le même modèle sur son voilier et après un verre de vin nous sommes allez sur leur voilier Absaroque pour comparer mon setup de " Airmail ". C’est ce programme qui gère les courriels par radio HF et c’est cette fonction qu’il n’arrive pas à activer car la radio semble très bien fonctionner. Nous n’avons pas eu de succès mais les tests ne sont pas terminé. Denyse et Jean-Pierre nous ont gardé à souper et plus tard Yvon et Nicole de Zenith se sont joint à nous pour digestif & fromage. Yvon à répondu à une question existentialiste qui fait l’objet d’une discussion à touts les jours pour des navigateurs qui descendent vers le sud. La question est : " Est-ce qu’ont part aujourd’hui ou demain ? " ce qui démontre la dure vie que nous subissont. Sans la contrainte de la météo, ont a eu très souvent à date le goût de rester ou nous étions, pourquoi partir? La réponse commune est que l’automne avance et il fera de plus en plus froid même si nous avons été très chanceux jusqu’à date. Ont discute de notre prochaine destination et nous quittons avec notre annexe que nous avions récupérée en passant à notre voilier. Il sont dans une autre baie et il nous avons pris environ 25 minutes pour revenir à la noirceur mais équipé de lumières de navigation.

Notre sommes le 16 octobre et notre mooring est payé jusqu’au lendemain midi. Aujourd’hui je doit remplacer la pompe de cale, allé faire des courses en ville et par la suite nous discuterons de notre prochaine destination et de la date de notre départ de Annapolis J’aurais besoin d’une autre journée pour installer la pompe d’eau de mer achetée il y quelques jour par la suite rien nous retiendra ici.

Le 17 octobre notre semaine de mooring expire et nous décidons d’allé dans la rivière plus au Sud ou était nos copains qui ont quitté ce matin. Je fais le plein de diésel, rempli les réservoirs d’essence de l’annexe et de la génératrice et je me propose d’appelé le bateau " pump-out " alors qu’ont le vois passé près de nous et il viens nous servir immédiatement $5.US, c’est moins cher qu’au Québec sûrement pour éviter que les gens déversent dans la Baie. Par la suite ont se rend à la marina municipale de Annapolis pour remplir les bidons de diésel, d’essence et d’eau, nous laissons nos déchets et nous quittons pour Back Creek ou il semble que nous pourrons connecter sur internet. Environ 25 minutes plus tard ont jète l’ancre dans un petit coin très tranquille. Ont peut effectivement connecter sur internet mais il se déactive souvent et il est impossible de transférer les photos sur le blog. Nous devrons allé en ville possiblement demain, dans un café internet pour faire la mise à jour correctement. J’ai demandé de nouveaux rapports météo par radio HF et il semble qu’il y a pour quelques jours " un avertissement aux petites embarcations " causé par des vents violents et que les bonnes conditions reviendront lundi le 20 octobre. Ont décide d’attendre lundi pour partir et nous réviserons si les conditions s’améliorent. Christine fait le tour du voilier dans l’annexe pour laver la coque et frotte les balcons en acier inoxydable pour enlever les traces de sel, je refait l’étanchéité de la base du mât avec des matériaux de fortune en attendant de trouver les bons produits et je me prépare à faire l’installation de la pompe d’eau de mer près de l’évier de cuisine. Ont sort avec l’annexe visiter la marina Jabin qui est tout près, c’est immense, il doit y avoir 500 voilier sur ber et autant aux quais, il y y plusieurs petites entreprises de réparation et un courtier sur le même site. Au bureau de la marina et ont nous donnes droit aux douche pour $5/jour / personne ce qui est plus confortable qu’une douche dans le cockpit.

Le lendemain ont sort en ville pour aller connecter sur internet dans un café et quand ont reviens au voilier, je m’occupe de passer le tuyau d’alimentation d’eau de la future pompe d’eau de mer. Je doit percer une cloison sous la banquette tribord, j’ai un perceuse et des mèches mais pas assez grosses, je n’ai pas apporté touts mes outils alors je prend trois heures pour faire le trou et limer les aspérités avant d’enfiler le tuyau et une heures de plus pour tout remettre en place dans la pince avant ou le tuyau sera raccordé à prise d’eau de mer de la toilette, remettre pour les produits dans l’armoire derrière la toilette ou passe le tuyau , replacer touts les boites de conserves sous la banquette et replacer touts les autre objets derrière le dossier de la banquette. Pour ce qui est du temps que j’ai pris pour percer le trou, faut dire que je travaillais plié en trois, la tête en bas sous une banquette avec une lampe de tête et je devais m’assurer de ne pas endommager le tuyau d’eau potable qui passe tout près ou les nombreux câbles 12 volts, radar et compas électronique qui passe également à cet endroit. Enfin c’est fait et c’est bien fait. Prochaine étape installer la pompe sur le comptoir, plus de mesurage que de travail et par la suite raccorder le tuyau et installer un valve pour séparer l’alimentation de la toilette.

Si les prévisions ne change pas, demain ont part pour St-Michaels.

Hasta luego

Annapolis

Le lendemain, le 8 octobre nous étions cédulé pour quitter à 6 :00hres, Christine étais debout à 4 :00hres pour mettre une bûche dans le foyer, il faisait 13ºC dans le voilier, je me réveille, ont parle un peu et aussi bien se levé et commencer la journée. Petit déjeuner, écoute de la VHF marine et lectures de rapports reçu par radio HF sur les conditions météo, vérifications d’usage du moteur et Christine me dit " ont vois rien dehors ". Ont voit à peine les voiliers à l’ancre autour de nous dans le port, mais pour sortir du port il y a un brouillard très épais. Ont en parle et c’est pour ça qu’ont à un radar alors ont décide de partir. Pour sortir de l’étroite passe donnant accès au canal, je n’ai qu’à suivre la route par laquelle nous sommes entrés dans le port et que j’avais enregistré. Par la suite c’est le radar qui nous guidera avec un peu d’aide des lumières jaunes à plus ou moins 500 pieds d’intervalles sur la rives, nous en voyons une près de nous et une ou deux autres de loin très faible dans le brouillard. Vers 7 :00hres ont arrive à une partie de canal qui s’élargit sur la partie Nord de la Baie de Chesapeake et le soleil à dissipé le brouillard. Nous poussons donc le moteur à fond pour arriver à Annapolis le plus tôt possible parce que nous arriverons après l’étale, donc avec un léger courant de marée contre nous.


Journée fraîche, tuque et gants en attendant la chaleur du soleil qui s’est fait attendre et qui n’est pas resté au rendez-vous trop longtemps. Vers 11:00 hres le ciel à commencé à se couvrir à perte de vue vers le Sud ou nous allons, le vent du Sud à forcit de 10 à 15 nœuds et des pointes un peu plus fort, mais nous ne sommes pas certain, notre anémomètre est toujours pas revenu de la réparation, il semble qu’il est en route vers Annapolis et que nous pourrons le récupérer dans 4 ou 5 jours. La vague était maintenant de trois pieds et très courte. Très déplaisant et à moins de commencer à louvoyer, pas question de lever une voile. Ont regarde la carte et Christine trouve une petite baie pour se mettre à l’abri à environ 4 milles derrière nous, ont fait demi tour et ont ouvre le genois, vent arrière à part la vague un peu déplaisante, le voilier était plus stable. Ont se rend dans la baie et ont jète l’ancre dans 12 pieds d’eau. Peu de temps après nous un autre voilier nous approche, il a décidé d’arrêter la journée aussi à cause du mauvais temps et il entre dans un petit chenal au fond de la baie. Je ne voulais pas y aller avant d’être certain que le chenal était praticable pour des voiliers. Ont décide de chercher un ancrage mieux protégé pour la nuit et ont regarde nos guides nautiques. Un des guides indique que ce chenal étroit est adéquat pour des voiliers et qu’il y a une baie protégée à l’intérieur ou il y a 6 pieds d’eau. ont décide d’y aller et ont jète l’ancre dans un coin ou il y a 8 pieds d’eau. Gros avantages, même si ont doit payer ont peut connecter sur internet , ça nous donne la chance de se mettre à jour avec nos courriels. Une heures plus tard trois autres voiliers nous rejoigne voir photo à l’ancre.














Le gros Salon Nautique de Annapolis, " le plus gros Boat Show des USA " commence demain et nous sommes invité par l’ancien propriétaire de Kai Keiki, il peut nous avoir des passes et il est curieux de visiter le voilier pour voir touts les changements que nous y avons faits. Lors de l’achat de Kai Keiki, nous avions eu une bonne relation avec le vendeur, et lorsque j’ai passé une semaine ici pour les expertises, la préparation du voilier et le transport, nous avons passé beaucoup de temps ensemble. Que nous ayons des passes ou non nous allons visiter le Boat Show c’est certain, nous apprenons toujours quelque chose et nous y dépensons toujours de l’argent.
Le 9 octobre ont quitte le mouillage de Fairlee Creek à 8 :30 AM et ont se lance sur la Baie de Chesapeake qui semble calme comparé à la journée précédente. Le ciel est couvert avec possibilité de pluie en fin d’avant-midi. Nous croyons arrivé vers 12 :30 donc ont y va. La vague à montée vers 10 :30 hres et plus tard le ciel s’est dégagé et les vagues ont diminuées. Nous avons levé les voiles mais nous étions très prêt du vent et nous n’en avons pas trop profité. Nous sommes arrivé à Annapolis comme prévu à 12 :30 hres, il fallait maintenant trouvé un ancrage, pas question de penser qu’il y aurait un mooring de libre la fin de semaine du Boat Show. Nous sommes allé dans un petite rivière " Spa Creek " ou nous avons dû attendre 20 minutes pour l’ouverture du pont (voir photo).














Mais il n’y avais pas de place et nous sommes revenus. Finalement à 14 :30hres nous jetons l’ancre à l’entré du port ou il y a déjà environ 200 voiliers à l’ancre. Un peu plus tard, des gens rencontré à New York passe près de nous avec leur annexe et arrête nous jaser, nous allons sûrement nous recroiser un peu plus loin en route pour le Sud.
Demain ont met le pied à terre, pour allé prendre un café avec le vendeur de Kai Keiki, récupérer notre courrier qui à été acheminé ici par UPS, allé chercher notre anémomètre qui doit être arrivé, faire l’épicerie, et s’informé ou nous pourrons allé faire le plein d’eau potable et de diésel avec notre annexe.
Le lendemain matin j’ai finalement pris arrangement avec BRIGG le fabricant de notre annexe, la quille gonflable se dégonfle et il vont me livrer la quille ici pour que je fasse la réparation moi-même. Depuis le mois de juin que je fais des démarches pour cette réparation.. C’est le pire service après vente qu’ont peut s’attendre, souvenez-vous en, les annexes BRIGG présentés aux filières de la CONAM "
Un peu plus tard ont quitte en water taxi et ont rencontre le vendeur de Kai Keiki vers 10 :00 hres. ont discute des changements que nous avons fait sur le voilier et des travaux que lui a entrepris sur son voilier un Bayfiled 36 C. Plus tard ont se quitte et ont s’est donné rendez-vous pour dîner au club des officiers de la marine ou il sera pour la journée comme volontaire pendant le Boat Show. Nous connaissons assez bien Annapolis, nous sommes venu deux fois et nos savons que ça sera un séjour plaisant. Ont décide de commencer par le maître de port pour connaître les services que nous pouvons avoir même si nous sommes à l’ancre. Ont complète tout les documents d’enregistrement et il nous dit que deux moorings viennent de se libérer. Ont décide de changer nos plans et de retourner au voilier chercher notre annexe et allé voir si ont peut mettre la main sur un mooring. Je (Pierre) reviens vers les moorings disponible pour me rendre compte évidemment qu’il était maintenant occupés par des annexes. Je me promène autour pour bien vérifier si d’autre se seraient libérés et un voilier lance ses amarres dans le coin opposé à ma position. En moins de 10 secondes je pousse le moteur plein régime en ligne droite vers ce mooring en regardant autour si quelqu’un d’autre me fait la course mais il semble que je suis seul. Finalement après quelques longues minutes j’attrape le mooring et je viens de le réservé. Élément de hazard, quand nous sommes venu voir Kai Keiki pour la première fois en octobre 2005, il était sur le deuxième mooring plus loin J’avais pris soin d’apporter la radio VHF alors j’appel le water taxi pour qu’il vienne me récupérer et me ramener à notre voilier, par la suite j’appel le maître de port pour lui dire que je viendrai plus tard payer pour le mooring no 44. Nous venons de rater notre rendez-vous pour dîner avec le vendeur de Kai Keiki, je l’averti par téléphone et nous prenons rendez-vous pour souper. Ont s’amarre au mooring et ont reprend notre cédule c’est à dire allé chercher notre anémomètre chez FEDEX, ensuite récupérer notre courrier chez UPS, faire l’épicerie et payer le mooring. Ont part vec l’annexe qu’ont laisse sur un quai publique à l’extrémité d’une rue " Cul de sac " et ont se rend en ville faire nos courses et ont prend un taxi pour se rendre dans un centre commerciale ou il y a une grosse épicerie et le UPS Store ou notre courrier nous attend. Nous revenons trop tard pour notre rendez-vous du souper et notre rencontre est remise à plus tard. Nous nous sommes égarés au retour vers notre annexe, " quels navigateurs nous sommes " à notre demande le taxi nous descend deux rues plus loin que notre annexe, à cause des sens uniques des rues locales .le chauffeur à eu tellement de difficulté à nous mener à cet emplacement que je décide de partir à pied chercher l’annexe pendant que Christine m’attend avec l’épicerie. Environ 15 minutes plus nous embarquons les 32 sacs (plus ou moins) d’épicere dans l’annexe et ont se met en route pour notre voilier ou tout est rangeé en moins 30 minutes
Demain ont visite le BoatShow……à suivre.

Hasta luego

Delaware Bay

Nous sommes entrés à Cape May par l’Océan et nous sortirons du côté de la Baie de Delaware. La synchronisation avec la marée est plus complexe que sur l’océan parce que nous avons 60 milles nautiques à parcourir avec le courant en face ou par l’arrière plutôt que de travers sur l’Atlantique. Nous voulons profiter du courant de marée au maximum car il semble que la Delaware peut-être déplaisante surtout si le vent est contraire et que nous faisons face au courant de marée qui peut être jusqu’à 3 nœuds surtout dans le nord ou la Baie deviens une Rivière. Nous utilisons nos deux programmes de navigation pour coordonner l’heure de notre départ. RayTech navigator de Raymarine pour faire la route et identifier l’heure à laquelle nous seront à chaque waypoint de notre route et même si ce programme donne accès aux graphiques et aux tables de marées et courants, le programme de navigation Nobeltec est encore plus pratique parce qu’il nous montre le courant par des flèches de grosseur proportionnelle à la force du courant à l’heure et pour la journée que nous sélectionnons, ceci nous permet d’être beaucoup plus précis lors de la préparation de la route étant donné que le courant n’est pas le même prêt des rives et au centre d’un plan d’eau. Il faut aussi vérifier les tables de marées et courants parce qu’il y a un décalage parfois jusqu’à 30 minutes entre l’étale et le changement direction du courant, plusieurs navigateurs vérifient seulement la marée. Nous décidons de quitter le Canal de Cape May a 8 :00hres AM avec le courant à la sortie du canal même si le courant au centre de la baie est à sens inverse de notre direction. Voir la carte ci-jointe ou les flèches rouge indiquent le courant (les points rouges représentent l’étale) et la ligne noir notre route pour rejoindre le chenal principal au centre de la baie, 15 minutes plus tard tout le côté Est de la Baie est à l’étale.


Le courant est plus faible près des côtes , à cause d’un effet de friction des côtes et du fond, nous en profitons au début de notre route, et quand nous rejoindrons le chenal principal vers 10 :15 hres le courant sera dans la même direction que notre route et sera plus fort (voir 2ième carte de courants) donc nous pourrons arriver à destination plus rapidement. Remarqué la position de notre voilier dans le port de Cape May au coin droit en bas de la carte. Notre route à été calculé à une vitesse de 6.5 nœuds pour arriver à Chesapeake City dans le C & D canal à 17 :15 hres et je crois que nous ferons des pointes à 7.0 nœuds par endroit.

Lundi matin, ont écoute la météo et les conditions de vent ne sont pas favorable, vent du nord donc en face avec des coups de vents jusqu’à 20 noeuds, mais surtout il y aura un ciel couvert avec risque d’averse. Ont pourrait partir mais le lendemain les conditions seront meilleurs et nous ne sommes pas pressé, nous ne devons pas dépasser le 35ième parallèle avant le 15 novembre, fin de la saison des ouragans selon l’assureur. Nous avons un nouveau voisin, " Bye Bye Blues " un Moody 37 pieds, des gens avec qui nous avions discuté à la marina Gosselin avant notre départ de St-Paul.



Le 7 octobre réveil à 6 :0 hres AM 15ºC dans le voilier, ont déjeune, vérification général du moteur (huile, courroies et filtre à eau………) 6 :45 AM ont démarre le moteur et ont lève l’ancre pour être à la sortie du canal à 7 :45 hres, un peu plus tôt que la prévision de la journée précédente car les heures de marée change à tous les jours.

En entrant sur le Delaware, il y a de la vagues de 2 à 3 pieds, un peu plus que prévu mais ont s’attend à ce que les conditions s’améliorent. Ont se rend vite compte que ça ne changera pas et que le Delaware est comme sa réputation. Les vagues deviennent de 3 à 5 pieds et quelques unes qui semblaient plus grosses. C’ est beaucoup pour notre " PETIT " voilier, mais ont sais qu’il est capable. Reste à savoir si nous ont est capable, je (Pierre) suis convaincu que Christine vas suggérer de retourner, mais non ont continu, l’eau salée coules dans ses veines. Le vent est quand même favorable pour ouvrir le genois ce qui stabilise le voilier qui fend les vagues avec un angle d’attaque de 45º sinon nous n’arriverons jamais à remonter le Delaware. Le vent est Nord Est et plus au Nord de la baie nous serons protégé de ce vent et de la vague qu’il crée car nous serons plus près de la côte dans la rivière. Quand même nous sommes devenu un peu plus " Navigateur " aujourd’hui. Il faut ajouter que le soleil est de la partie, pas d’orage en vue, ça nous à encouragé à continuer notre route. Cette baie est tellement grande que pendant environ une heure, nous ne voyons pas la terre quelque soit la direction.
Comme prévu, vers 11 :00 hre les conditions se sont améliorées parce que le vent était bloqué par la rive à l’entré de la rivière. Par la suite nous avons eu un après-midi extraordinaire sous le soleil, pratiquement sans vent. Nous étions quand même bien synchronisé avec le courant de marée, nous avons atteint 7.4 noeuds sur le fond en milieu d’après-midi. Nous avons évidemment croisé de gros cargo et navigué devant une centrale nucléaire. À part ça il n’y a pas grand chose sur cette baie, il y a 3 ou 4 endroits ou nous aurions pu trouver un refuge au besoin mais elles sont assez éloignés les unes des autres.

Nous avons passé sous plusieurs ponts depuis notre départ et je les regarde toujours avec beaucoup d’intérêts, et plusieurs sont fascinants. Le concept de ponts fait partie de ma formation et j’ai toujours été impressionné par touts les calculs, études et recherches qui doivent être fait avant qu’un ingénieur signe les plans " Pour construction ", il faut drôlement être sur de soi. Voici sur une seule photo deux ponts qui traversent le canal C & D et que j’ai examiné en passant en dessous. Je ne vous ennuierai pas avec mes observations techniques mais ces deux ponts sont de première classe en toute simplicité.Nous sommes entré dans le C & D " Chesapeake / Delaware " canal vers 3 :30hres pour arriver à Chesapeake City à 17 :30. Il y a un port très protégé du vent et du courant, c’est le seul endroit ou ont peut arrêter , le quai publique se semble plus exister, dans ce port il y a quelques marinas pleines de bateaux à leurs quais. Il y avait déjà environ 15 voiliers ancrés au centre du port et n’y avait pas beaucoup de place pour jeter l’ancre, ont fait le tour et Christine sélectionne un endroit en dehors de la zone de mouillage ou sont les autres voiliers et nous jetons l’ancre. Par la suite il arrive un, deux, trois autres voiliers qui vont se coincer entre les autres voiliers. Il y a seulement 8 pieds d’eau, donc pas besoin sortir 100 pieds de touée mais quand même si le vent se lève il faut être bien ancré pour ne pas chasser sur un autre voilier. Plus tard 2 autres voiliers arrivent et jètent l’ancre entre nous et la sortie du port parce que maintenant il ne semble plus y avoir de place au centre du mouillage.

Onze heures de navigation aujourd’hui incluant environ quatre dans le gros temps qui à brasé le moteur ainsi que le réservoir de diésel et son contenu et aucune baisse de régime du moteur. J’ose croire que le problème de diminution de régime est réglé définitivement. Clické sur le lien suivant pour voir le vidéo préparé par Christine: http://fr.video.yahoo.com/watch/3757315?fr=yvmtf


En préparant le souper, Christine veux ouvrir la TV pour écouter les nouvelles mais la TV ne fonctionne pas. Qu’est-ce qui ne fonctionne pas : la prise 12 volts , le câble ou la TV. J’essai une autre prise, même chose donc je vérifie le câble et il n’y a pas de continuité sur le conducteur positif, donc je le réparerai après souper car je m’apprêtais à remplir le réservoir de diésel pour être prêt à partir tôt le lendemain. Après souper, j’ouvre le connecteur à l’extrémité du câble de la TV et la connections est dessoudé , je répare et ça fonctionne. Ce qui me fait penser que je n’ai pas mentionné, mais presque à touts les 2 ou 3 jours il y a un petit quelques chose qui à besoin d’attention et que je doit solidifier ou réparer, toujours des troubles mineurs, rien de sérieux, ont pourrais dire que c’est de l’entretien mais quand même il faut avoir beaucoup d’outils, connnaître les systèmes et être prêt à tout.

Avant de me coucher, j’ai réduit la longueur de câblot d’ancre pour diminuer le rayon sur lequel nous allons tourner si le vent ou le courant sont au rendez-vous. Nous avons dormis comme sur le ber, le voilier à peine tourné.

Demain ont continu sur le C & D canal pour rejoindre le Chesapeake Bay….à suivre.

Hasta luego

L'océan Atlantique

Le 30 septembre après consultation et discussion avec Jean-Pierre et Denyse de Absaroque, surtout concernant la prévision de météo, nous avons les mêmes informations et elles sont favorables. Ont décide de partir vers Cape May, environ 24 heures de route qu’il faut coordonner avec les courants de marée pour sortir de Sandy Hook et entrer à Cape May. Ont quitte le mooring et nous rejoignons Absaroque qui est à l’ancre. Vers 8 :30hrs am ont se met en route vers le nord pour contourner la pointe de Sandy Hook et ont tourne à l’Est vers l’océan et ensuite direction Sud. La première partie du voyage est comme un rêve c’est trop beau pour être vrai. Nous sommes sur l’Océan Atlantique à 1.5 (parfois 2) milles nautiques de la côte, il fait chaud, pas de vague mais une houle de 2 à 3 pieds, c’est extraordinaire même s’il n’y a pas de vent pour lever les voiles. Suite aux derniers ajustements, le pilote automatique fonctionne très bien et dirige le voilier sur le cap sélectionné et respecte les ajustements demandés lorsque nécessaire. Vers midi le vent Sud-Est se fait sentir, pas fort, assez pour lever la grande voile et le genois (la plus grande des voiles avant) et une heure plus tard le tourmentin (deuxième voile avant plus petite), Gaston le pilote automatique est toujours à la barre.














Le vent n’est pas assez fort pour propulser le voilier à la vitesse de croisière désirée et ont laisse tourner le moteur à bas régime pour maintenir 6.5 nœuds de vitesse sur le fond. À compter d’environ 14 :00 hres la condition de la mer commence à changer et vers 16 :00 hres en plus de la houle qui est maintenant de 3 à 4 pieds il y a de la vague avec des petits moutons et le ciel est gris vers le Sud. Ces conditions sont telle qu’annoncés, vent Sud-Est 5 à 10 nœuds devenant sud en fin de journée mer de 2à 4 pieds et probabilité de pluie en fin de journée. Christine est inquiète et questionne si ont ne devraient pas entrer dans le prochain " inlet " qui est à environ 30 minutes de notre position. Même si les conditions sont moins plaisantes que ce matin, le voilier se comporte très bien. C’est quand même notre première sortie en mer et si ont continu, nous ferons le reste du trajet dans la noirceur jusqu’au lendemain matin sans aide de le lune et sous un ciel couvert, possiblement à la pluie.

Ont discute avec Absaroque qui suggère de continuer jusqu’à Atlantic City, nous y serions vers 10 :00hrs. PM. Selon les cartes et les guides cet " inlet " est facile d’accès même de nuit, il est large et bien balisé. Jean-Pierre nous dit y être allé 4 fois déjà de jour et il connaît les points d’ancrages. Après discussion entre nous, et avec un moton dans la gorge, Christine accepte de continuer. Vers 5 :30 le vent est devenu Sud et nous affalons les voiles.

C’est maintenant que le radar va être mis au travail, un petit ajustement pour enlever le reflet des vagues et nous voyons clairement les bateaux dans notre entourage. Il fait très noir et le radar est absolument nécessaire pour se sentir en sécurité.

Ont vois quand même les lumières de navigation des bateaux, mais il peut y avoir des bateaux en panne d’électricité et qui n’ont pas nécessairement d’équipement pour nous avertir si ont s’approche d’eux alors nous devons être vigilant. Je surveille continuellement dans un rayon de 1 mille nautique autour de notre voilier et de temps en temps je vais voir dans un plus grand rayon pour vérifier si un bateau est dans notre trajectoire ou s’approche par l’arrière. Pendant les derniers 4 heures, le moteur a eu quelque baisse de régime de 200 à 300 rpm et reprenait son régime en moins de 15 secondes, j’espérais qu’il n’arrête pas et qu’il tienne le coup jusqu'à ce que nous soyons à l’ancre. Il s’agit sûrement d’un filtre à diésel encrassé, mais j’ai remplacé les deux filtres en milieu de saison l’an passé et j’avais prévu un remplacement en arrivant en Floride même si les filtres auraient pu durer plus longtemps.. Le moteur tiens bon et ont arrive comme prévu vers 10 :00hres le soir et après consultation et comparaison de nos coordonnées avec Absaroque, nous localisons très bien les bouées qui nous dirigent vers " l’inlet " et nous suivons Absaroque vers un point d’ancrage avec lequel il est familier et ont jète l’ancre à 10 :30hres avec un sentiment d’accomplissement extraordinaire. Christine est épuisée et elle se couche en moins de 30 minutes, moi je reste éveillé pour faire un peu de rangement des guides et des cartes, mise à jour du blog et demander des rapports météo sur radio HF pour les recevoir le lendemain matin. Clicker sur le lien suivant pour voir le vidéo préparé par Christine : http://ca.video.yahoo.com/watch/3806076?fr=yvmtf

Vendredi le 1er octobre, je me suis levé à 7 :30 hres et j’ai tenté sans succès de faire un contact par radio HF avec le réseau du capitaine qui est au Québec. Nous sommes trop loin pour profiter des ondes de terre et pas assez loin pour pouvoir recevoir les ricochets des ondes sur l’ionosphère. C’est une explication simple pour ceux qui ne connaisse pas la radioamateur, mais je ne veux pas avoir l’air trop savant, c’est tout ce que j’en comprend moi-même. J’ai fait des demandes de rapports météo, j’ai continué à écrire le blog, fait la mise à jour du livre de bord et etc. Il était 10 :00 hres quand et nous avons pris le petit déjeuner, ont est en vacance après tout et parce que je doit changer les deux filtres du diésel je ne serai pas prêt à partir avant midi. Jean-Pierre et Denise de Absaroque veulent partir à 11 :00 hres pour se synchroniser avec la marée descendante ici et la marée montante à Cape May. Je lui dit que nous ne partirons pas aujourd’hui, mais plutôt vendredi parce que la météo n’est pas favorable pour le lendemain. En début d’après-midi, je remplace le filtre primaire de diésel et je démonte le filtre secondaire pour me rendre compte qu’il n’est pas plein de diésel, voilà le problème, il y a de l’air qui entre dans la ligne d’alimentation de diésel. Je remplace le filtre secondaire et je resserre touts ce qui peux laisser entrer de l’air mais ironiquement je crois que c’est la vis de purge d’air qui s’est possiblement desserré avec les vibrations du moteur!!!!

Un peu plus tard, ont prend l’annexe et ont se rend à Trump Marina, qui est tout prêt pour poster nos cartes postales, voir si ont peut connecter sur internet et allé faire un tour en ville. Ont connecte sur internet au Trump casino de l’autre côté de la rue par un ordinateur payant à $0.35/minutes et nous prenons un " JITNEY " pour allé en ville. QUELLE EXPÉRIENCE!! Le chauffeur conduisait à une vitesse excessive comme si il était payé à pourcentage, ont se croyais dans un pays du Sud ou se type de conduite est plus habituel. Nous sommes revenus assez tôt parce que le centre-ville n’est qu’un secteur de magasinage touristique + boutiques de vêtements + casinos.

Jeudi le 2 octobre j’ouvre la radio HF comme toujours pour essayé d’écouter le réseau du capitaine et pour la première fois, la propagation est favorable et j’arrive à communiquer, à donner ma position et à entendre très bien. Un autre amateur du Québec se présente en disant qu’il est également à Atlantique City dans un autre ancrage à ½ mille de nous. Nous entrons éventuellement en contact radio pour se présenter.

Un peu plus tard, ont s’occupe à plein de bricole et nous remarquons qu’autre voilier à l’ancre se rapproche de nous de temps en temps selon le vent et le courant de marée. Comportement assez fréquent quand il y a plusieurs voiliers ancrés dans le même secteur parce que nous n’avons pas la même combinaison de chaîne et de câblot pour retenir notre ancre. Il vente beaucoup depuis le matin moyenne de 15 nœuds et des pointes à environ 20 nœuds, nous avons eu raison de ne pas partir aujourd’hui. Vers 11 :00hres, Christine bondie de son banc en disant que le voilier chasse sur nous. Je sort en vitesse et il s’en viens directement sur nous de côté. Je ne vois personne sur le voilier alors j’active la corne de brume quelques fois et un couple âgé sort dans le cockpit sans trop savoir quoi faire. Nous sommes prêt avec des gaffes, Christine dans le cockpit et moi sur le passe-avant et le voilier viens nous aborder sans trop de violence. J’avais eu le temps de descendre deux défenses et l’autre voilier n’en n’avais pas. Quand le voilier à été passablement immobiliser, Christine lui disait de démarrer son moteur et j’ai du lui répéter pour qu’il se réveille et un peu plus tard il est arrivé à faire marche arrière et s’éloigner de nous sans dommages visibles pour le moment. Il leur a fallut environ 30 minutes pour tourner autour de leur ancre et finalement la relever. A un moment il est encore revenu trop prêt à notre goût et j’ai démarrer notre moteur pour être prêt à m’éloigner de l’autre côté de notre ancre s’il s’approchait trop. De loin je suis sous l’impression que pour un voilier d’environ 39 pied, leur ancre est possiblement trop petite, et que leur chaîne semblait être de très petit calibre. Il y a aussi une technique d’ancrage qu’il faut bien comprendre pour que l’ancre tienne efficacement, si c’est pour prendre un lunch ce n’est pas la même chose qui si ont veux dormir à l’ancre. Nous prévoyons toujours le pire et depuis que nous faisons de la voile, nous n’avons jamais chassé.

La journée continu, plus tard Christine réinstalle le programme de navigation Nobeltec sur mon ordinateur parce qu’il y des fonctions que je n’arrive pas à activer et il m’est impossible de connecter le GPS. Pourtant tout fonctionnait bien lors de nos vacances en Floride l’hiver dernier en camping avec l’annexe, j’ai transférer des routes et des " waypoints " sans problème. Le transfert est fait pour se rendre compte que j’avais téléchargé une version plus récentes qui à changer tout le " setup " alors ont a réinstallé la vieille version et tout fonctionne très bien maintenant.

Les conditions de météo ne semblent pas idéales pour partir vers Cape May le lendemain matin, par contre la prévision pour samedi est excellente alors ont décide d’attendre et quitter samedi matin. Ont fera le " pump-out " et le plein de diésel demain matin.

Vendredi, on déjeune et ont se rend à la Trump Marina avec le voilier pour faire le vide du réservoir septique, laisser nos déchets et faire le plein de diésel et ont va se mettre à l’ancre dans une autre baie ou nous rencontrons Richard (radioamateur entendu la journée précédente sur le réseau du capitaine) et Linda qui ont vendu leur maison et qui partent pour la deuxième fois vers les Bahamas avec leur voilier Rigalio un O’Day 30 pieds, sans trop de plan pour la suite. C’est ce qui risque de nous arrivé si ont prend goût aux voyages vers le Sud avec Kai Keiki. Je lit les instructions pour le radar et le lecteur de cartes électroniques et Christine prépare un vidéo de notre voyage.

Ont sort avec l’annexe pour allez visiter le coin mais il n’y a que des résidences dans les alentours, pas vraiment de place pour descendre à terre excepté le long d’une route ou il y environ 40 pieds de terrains vacant et à mon avis " non construisable " qui appartient probablement à l’état ou à la municipalité. Alors ont s’approche, ont sort l’annexe de l’eau et je me prépare à l’attacher à un support de clôture en bordure de la route alors qu’un camion s’approche pour nous dire qu’il s’agit de terrains privés. Les résidences autour de cette baie sont très luxueuses et je crois que les propriétaires ont une crainte des voyageurs qui sont de passage seulement, comme si ont étaient des vagabonds, j’ai lu plusieurs articles sur ce sujet dans des magasines de navigation, nous sommes donc revenus au voilier, c’est pas la place pour commencer à s’argumenter.

Samedi le 4 octobre 6 :30 hres AM ont part pour Cape May, nous synchronisons notre sortie sur l’Océan avec la marée et ont se met en route. Ont doit d’abord franchir le banc de sable traversé pour entrer dans la petite baie ou nous étions à l’ancre, nous sommes entré à marée haute et nous sortons à marée basse. J’avais fait le tracé électronique de l’endroit ou nous sommes passé et je l’ai transformé en route que nous suivons lentement et nous sortons avec 2 pieds d’eau sous la quille. En peu de temps nous sommes sur l’océan dans d’excellente condition et c’est Gaston qui barre. Nous sommes à 1.5 milles nautiques de la côte et nous croissons à 3 reprises des zones ou il y a 20 à 25 bateaux privés qui sont à la pêche, c’est samedi et il fait beau. Le moteur se comporte très bien, nous sommes à plein régime pendant 5 heures et aucune baisse de régime. Je suis bien content et " SURPRISE " encore une baisse de régime et une deuxième 30 minutes plus tard. Qu’est-ce que je n’ai pas vu ou qu’est que je n’ai pas fait. Le moteur va bien par la suite et nous rentrons à Cape May à 12 :30 hres. Vidéo: CAPE MAY

Le lendemain matin nous sommes couché mais réveillé et je dit à Christine " je ne me souviens pas avoir resserré le bouchon de la pompe à diésel quand j’ai purgé l’air après avoir remplacé les deux filtres ", je vérifierai plus tard. Pour continuer notre route, il aurait fallut partir de bonne heure le lendemain matin mais je voulais vérifier le moteur et comprendre pourquoi il y avait des baisses de régime, alors nous avons décidé de resté à Cape May. Un peu plus tard je vérifie et effectivement je n’avais pas resserré le bouchon de la pompe, et il y avait de l’air dans le filtre secondaire. Je purge l’air, vérifie une deuxième fois touts les raccords de la ligne d’alimentation, je démarre le moteur et le laisse tourner 30 minutes en espérant que ce sujet est réglé.

Vers le milieu de l’après midi, nous descendons à terre pour le lunch et au retour à la marina ou nous avons laissé l’annexe, Christine remarque des cages à crabes alors ont reviens avec une cage. Environ 16 po X 16 po, 5 po de haut et une porte sur chaqu’un des quatre côtés. Christine attache l’appât au centre et descend la cage, quand elle arrive au fond les 4 portes s’ouvre et elle attend 10 à 20 minutes. Quand elle la relève, la ligne qui est attaché à la cage referme les portes et les crabes qui se sont aventurés à l’intérieur sont coincés. Voici la première prise de Christine.



Rigalio le O’Day 30 rencontré à Altantique City passe devant nous et vas se mettre à l’ancre dans un mouillage plus vers l’Ouest.

Aujourd’hui dimanche, nous descendons encore à terre à l’extrémité de la Baie pour visiter un autre coin. Nous allons dîner sur une terrasse près d’une marina ou il y a de gros bateau de pêcheurs et un marché de poissons et fruits de mer frais difficile à battre, Christine fait des provisions et je fait le plein de deux bidons diésel. Nous revenons au voilier pour planifier notre route sur le Delaware demain si les conditions sont favorables…..à suivre.

Hasta luego

La rivière Hudson

Le 17 sept ont quitte le quai de béton de Waterford en direction de l’écluse de Troy, l’éclusage se fait sans retard, tout est sous contrôle. Les portes s’ouvrent sur la Rivière Hudson comme une autre étape de notre voyage, ont est en route vers New York City. Tout à coups, les Keys de la Floride et les Bahamas ne sont plus aussi valorisées. Chaque journée devient un accomplissement, une partie d’un rêve qui se réalise et qui est plus importante que le rêve lui-même, parce que nous le vivons aujourd’hui, une partie du rêve qui deviens réalité. Ce rêve ne se réaliserait pas si chacune de ces étapes n’y était pas. Je pense déjà à la sortie en mer le long du New Jersey, à remonter le Delaware, descendre le Chesapeake Bay, emprunter le Dismal swamp Canal etc etc….et que dire du Gulf Stream si nous traversons aux Bahamas. Assez Pierre reviens les pieds sur terre ou plutôt sur le voilier.

Première expérience de marée, seul indice c’est que nous descendons la rivière à 7 nœuds sur le fond, un peu vite que la vitesse maximum de notre voilier. Je soupçonne que plus tard nous serons à contre courant à 5 nœuds et effectivement c’est ce qui arrive, donc un courant de marée d’environ 1 nœud. Le courant de marée varie mais ne semble pas dépasser deux nœuds sur la Rivière Hudson.

Nous croissons de charmante petites villes, Albany entre autre qui apparemment est la capital de l’état de New York et ont croise également de gros cargos, il faut être attentif, ont les vois à peine de loin et en moins de trois minutes ils nous ont croissé, et regarder cette vague d’étrave de 4 à 5 pieds, c’est une grosse vague pour notre voilier, voir les trois photos suivantes et les heures affichées.
















Clickez sur le lien suivant pour voir le vidéo Rivière Hudson " Partie 1 " préparé par Christine: Waterford à Catskill : http://fr.video.yahoo.com/watch/3555479?fr=yvmtf


Nous arrivons à Catskill Creek, une très belle petite rivière, voir photo. Ont se rend jusqu'à la marina Hop-O-Nose ou nous allons remâter. Il est tard et ont nous dit que nous serons le 2ième sur la liste le lendemain matin. Mais le lendemain il vente beaucoup trop et nous sommes remâter seulement en début d’après-midi. Ont remonte le voilier : resserrer (touts les câbles ) deux étais, le pataras, les 2 haubans et les quatres bas-haubans, serrer et vérifier avec un tensiomètre, installer la bôme et les trois voiles. Il reste à refaire et vérifier touts les raccords électriques qui montent dans le mât : les lumières de navigation et de mouillage, la lumière de pont, le radar, l’anémomètre, la mise à la terre du mât et la radio VHF. Pour $50 de frais, nous avons entreposé nos supports de mât jusqu’à notre retour.

Étant donné que nous aurons besoin d’une autre journée et qu’ils n’ont pas de salle de lavage ici, nous allons Riverview Marine Services à l’entrée de la rivière. Le lavage est fait, les toilettes sont beaucoup plus propres, le quai est moins cher, il offre un " free pump-out " (vidange de notre réservoir septique) et le lendemain matin le propriétaire nous offre des beignes gratuits, une autre fois nous viendrons démâté ici.

Le 20 sept ont quitte Catskill pour Marlboro mais il fait tellement beau et avec le courant de marée nous fillons qu’à 7.2 nœuds sur le fonds, nous décidons de continuer et nous arrivons à un quai près d’un club de voile, le " Chelsea Yacht Club " http://www.chelseayacht.org/ ou nous sommes reçu dans la tradition des clubs de voile par Jeffrey Dahlke Steward du club, il nous guide avec un petit bateau moteur jusqu’à un mooring qui est mis à notre disposition gratuitement. Nous profitons de leurs douches et nous retournons sur le voilier pour souper. Si vous croyez qu’ont se nourrit aux sandwichs, vous-vous trompé. Le réfrigérateur et parfois les conserves préparées par Chritine nous donne droit à des repas de première qualité comme ce repas sur mooring " Saumon sauvage en sauce , choux-fleur et pommes de terre du chef " que nous avons dégusté très lentement, voir photo.

Clicker sur le lien suivant pour voir le video préparé par Christine , Catskill à Tarrytown: http://video.yahoo.com/watch/3701296/10182814Le lendemain matin il faisait 15º C dans le voilier, dehors il y avait un brouillard d’advection qui s’est dissipé avec la chaleur du soleil c’est OK mais limite.














Aujourd’hui le 21 sept un papillon monarque nous a suivis pendant environ 10 minutes à 6.7 nœuds environ 8 milles à l’heure, il était à la hauteur des barres de flèches et je croyais qu’il voulait s’y poser, mais non il nous suivait et tout à coup il a pris une autre direction probablement plus directe vers le Sud que la nôtre. Ou simplement il a décidé d’éviter la pollution de New York. Nous nous rendons jusqu’à Tarrytown il fait 85º F 29ºC quand nous sommes sur la terrasse d’un restaurant adjacent au port pour prendre un bonne bière froide. Je n’avais pas demandé le coût pour le quai, $3/pieds + $6 pour l’électricité = $102 pour la nuit, OUCH, mais il ne faut pas commencé à être " cheap " au début du voyage, et c’est le coût de plusieurs marinas dans la région, plusieurs autres sont à $4 et $5 /pied.















Ont y rencontre des oies du Canada qui se reposent, voir photo.














C’est extrêmement impressionnant d’être rendus ici, nous adorons voyager et nous avons beaucoup de plaisir avec le voilier. J’ai écris le texte suivant dans un courriel à un copain et je crois que ça dit tout. " Je crois que même si nous ne sommes pas de grands explorateurs, nous avons tous une petite racine qui pousse vite quand on lui donne de l'eau. " et de l’eau ont lui en donne sous la quille depuis le 10 septembre. Je commence à comprendre que " Les voyages forment la jeunesse " ont l’à tellement entendu quand nous étions jeunes.

Du quai de Tarrytown NY, à l’aide de ma radio HF " amateur " j’envoi notre position (longitude / latitude) pour affichage sur le réseau du Capitaine, en même temps je reçois un fichier météo (que j’ai demandé) qui nous montre le vent et la pression et j’envoi un courriel. Ce soir je part en orbite en pensant aux hommes et aux femmes qui ont découverts et inventés ces technologies qui sont fascinantes. La TV, la radio AM/FM, les moteurs à essence ou à diésel, les avions, le concept d’un voilier de 10,000 lbs qui flotte et qui nous sert d’habitation et tant d’autres sujets que j’ai étudié lors de ma formation, mais rien ne m’impressionne plus que la radioamateur. De mon voilier, avec une batterie de 12 volts, j’envois un signal qui est réfléchis sur l’ionosphère à quiconque est en position pour le recevoir sur la planète terre. Pour ce qui est de communication verbale, c’est très clair dans de bonnes conditions, j’ai déjà parlé de Blainville à des gens qui étaient dans les Antilles. Pour les messages textes " courriels " ou cartes météo, nous passons par un serveur qui est " Winlink ", et tout est gratuit, je suis très très impressionné.

Ont quitte Tarrytown à 10 :15 am, je dit à haute voix " larguer " et ensemble moi et Christine ont larguent les amarres et j’embraye en renverse. " SURPRISE " ont ne recule pas donc j’embraye en avant rien non plus. Je dit donc à Christine " ont s’amarre ". Cette situation me rappelle la perte de notre hélice en 2005 à Collins Bay marina en Ontario, je me dit que " c’est impossible, pas une deuxième fois " et attachant les amarres au quai, Christine me dit " ont est dans combien d’eau " et ont se regarde en pensant à la marée basse. Il y a 3.4 pieds d’eau et ont a besoin de 3.75 pieds pour Kai Keiki. Nous sommes à marée basse coincé dans le fond pendant environ 45 minutes avant que nous puissions nous dégager avec la marée montante. Bien sur je suis allé à la personne en charge pour demandé comment il se fait qu’ont nous a assigné un quai ou il n’y a pas d’eau. ont m’assure qu’il y a 5 pieds d’eau à marée basse, mais ils veulent savoir qui nous a dit de prendre ce quai. Ont part 45 minutes plus tard, très lentement sans problème et ont sort dans un vent et un courant de côté qui nous font dériver sous contrôle jusque sous le pont " Tappan Zee " ou ont se dirige par la suite avec le vent et le courant ce qui est beaucoup plus confortable. Nous sommes en route vers New York à 7.8 nœuds sur le fonds, il fait environ 75º F (24º C) et tout vas bien. Ont se rend compte qu’un petit bateau moteur s’approche assez vite de nous par l’arrière et nous constatons qu’il s’agit d’un bateau de " Yonker’s Police ". Nous ralentissons et il s’approche assez pour nous questionner pendant 15 minutes et ils nous laissent partir, c’est peut-être la sécurité additionnelle aux approches de New York. Quatres heures plus tard nous arrivons à la 79th Street Marina à 15 minutes à pieds de Central Park pour prendre un mooring (ballon flottant attaché par une chaîne à un gros bloc de béton) mais ils sont tous occupés, alors ont se met à l’ancre dans 24 pieds d’eau jusqu’à ce qu’un mooring se libère possiblement le lendemain matin. À l’ancre près de voiliers sur mooring, nous ne quitterons pas le voilier pour visiter New York. Plus tard un couple de l ‘Ontario rencontré à Catskill arrête nous parler en retournant à leur voilier et nous disent qu’ils quittent et lendemain et ils nous avertirons pour que nous attrapions leur mooring.

Clicker sur le lien suivant pour voir le vidéo préparé par Christine, Tarrytown à New YorkL: http://fr.video.yahoo.com/watch/3701296?fr=yvmtf

Le lendemain matin j’ouvre la VHF en attendant leur appel mais nous surveillons pour voir si un autre mooring se libère. Vers 10 :30hres ils m’appel pour dire qu’il resterons une journée de plus parce qu’il y a du mauvais temps de prévus sur la côte Est, c’est l’ouragan Kyle qui s’en viens. Ont continu de chercher, vers midi Christine part à la chasse et en trouve un qui est à peine visible parce qu’il est submergé a marée haute et il n’y a pas d’amarre. Nous avons des amarres de mooring alors Christine reviens les chercher et elle vas les installer avec nos deux " nouilles spaghetti en styromousse jaune " pour faire flotter les amarres. Christine reviens au voilier, je démarre le moteur Christine prend la barre et je vais sur le pont avant pour lever l’ancre, je tire et je remonte le câblot " SURPRISE " je n’arrive même pas à sortir tout le câblot de l’eau, c’est à dire qu’il est coincé au fond dans 24 pieds d’eau, c’est pas la chaîne ou l’ancre qui est coincé, c’est le câblot. Réflexion, analyse de stratégie et discussion entre nous pour savoir quoi faire. Le câblot descend droit dans l’eau à partir du davier et même avec le moteur plein régime, rien ne bouge. Avant de tout casser, je vais voir le maître de port pour savoir s’il connaît des plongeurs si cette option s’avérait nécessaire. Il me dit que c’est impossible que nous soyons coincé bla bla bla, et après 10 minutes il se souvient que l’an passé quelqu’un avait abandonné son ancre, sa chaîne et une partie de son câblot parce qu’il était coincé. Je lui dit que nous avons trouver un mooring mais qu’il n’y avait pas d’amarres, il me donne une manille et deux amarres neuves pour les utiliser si ont arrive à nous dégager.

Je retourne au voilier avec pas plus d’aide que quand je l’ai quitté et j’essai quelques tentatives de tire vertical sur le câblot avec le moteur en marche, en tournant à bâbord et ensuite à tribord, aucun succès. Je doit ajouter que nous sommes dans un courant de marée d’environ deux nœuds dans la même direction que nous avons jeté l’ancre mais à cause de la marée, le voilier à tourné 180º et est revenu dans cette position depuis notre arrivée. Je dois donc essayé de faire le contraire mais dans quelle direction, à l’Est ou à l’Ouest de l’ancre. Si je me trompe je risque de rendre la situation pire et je devrai faire marche arrière si ça ne fonctionne pas. J’ai une chance sur deux d’avoir raison . Nous n’avons pas observé de façon certaine, mais il semble que les voiliers tournaient autour des moorings en se déplaçant vers l’Ouest et ça semble logique car nous avions des vents Est Nord-Est depuis quelques jours. Je donne beaucoup de mou au câblot d’ancre et le voilier dérive vers le nord avec la marée, puis je pousse le moteur lentement vers l’Ouest pour me retrouver de l’autre côté de l’ancre de reculons car nous sommes toujours coincé sur le câblot et je met le moteur à fond contre le courant de marée et je tire, le voilier se promène de bâbord à tribord et j’essai de garder le câblot tendu. À ce moment une annexe s’approche de nous avec trois personnes à bord, et ils nous crient " salut les amis ", des gens que nous avons rencontré à Catskill et avec qui nous avions soupé au resto. Ils sont très près de notre voilier ce qui me déconcentre un peu et qui m’empêche de continuer la manœuvre, mais eux ne savent pas ce que je fais. Ont discute un peu avec les amis et ils quittent, ont se reverra plus tard. Je met le moteur au neutre, ont se met en dérive vers le nord avec le courant de marée dans notre position précédente. Je vais sur le pont avant pour reprendre le mou du câblot et faire un autre essai à la verticale et par la suite je referai un essai à contre courant en passant à l’Est de l’ancre cette fois-ci. Je prend le mou et encore et encore en ayant l’impression que j’en prend plus que j’en ai donné, et oui, la manille qui relis le câblot à la chaîne sort de l’eau suivis par la chaîne et l’ancre. Bravo ont s’en ai sortie, allons s’attacher au mooring " SURPRISE " la marée à monté et le peu du mooring qui était visible et auquel Christine à attaché nos amarres n’est plus visible, il est submergé et nos nouilles en styromousse ont été expulsés par la force du courant et ils flottent tout les deux à la dérive, donc ont ne voit pas les amarres Ont se remet à l’ancre plus au Nord, ont attendra que la marée descende et nous irons nous attacher à nos amarres. Un peu plus tard Christine repart à la chasse pour retrouver notre mooring submergé. Après environ 30 minutes je vois un autre mooring qui sort à peine de l’eau alors je signal à Christine de revenir et je lui montre le mooring et elle repart pour aller y attacher les amarres que le maître de port m’avais donné. Christine reviens, nous levons l’ancre et nous allons s’amarrer au mooring. Il est 6 :30hres PM, depuis midi que nous essayons de nous relocaliser. Je retourne chercher nos amarres sur le premier mooring trouvé vers midi car maintenant il est visible la marée descends., je reviens tout porter sur le voilier et nous sortons souper au resto. Il faut dire que nous sommes à l’extrémité Nord du champs de mooring et qu’il faut environ 15 minutes avec le courant de marée qui est maintenant Sud pour se rendre au quai ou nous pouvons amarrer notre annexe, nous sortons souper et ont reviens vers 8 :30 hre, petit ménage dans le voilier et ont se couche. Demain ont sort visiter New York.

Vers 9 :00hres le lendemain matin 24 septembre ont part avec l’annexe et ont s’amarre au quai prévu à cet effet. Ont sort du site de la marina et ont se dirige vers Central Park et Broadway et ont marche en direction du centre-ville pour se familiariser un peu avec l’environnement. Ont croisse un gros Hotel ou nous entrons car ils ont généralement toutes les brochures touristiques pour visiter la ville. Nous sortons équipé de billets pour un tour guidé en autobus 2 étages, une carte de la ville indiquant les circuits du métro et des billets pour le transport en commun métro/autobus. Ont décide de prendre le métro alors ont descend sous terre et ont lit attentivement touts ce qui est écrits pour bien se rendre à " Time Square " le point de départ du tour que nous avons choisis. Ont y monte et ont fait trois arrêts, un pour l’Empire State Building, le 2ième pour China Town & Little Italy, et le troisième pour " Ground Zero " le site des tours du " World Trade Center ". New York est comme Montréal mais c’est beaucoup beaucoup plus grand. Il y a des rues avec 7 voies de circulation, imaginer lorsqu’il y a congestion. Voici une photo prise en regardant vers le Sud de la galerie d’observation de l’Empire State Building, en plein centre de la photo il y a la Statue de la Liberté, nous passerons devant dans quelques jour. Sur la photo, à droite c’est Rivière Hudson, au centre et vers la gauche c’est le port de New York qui donne accès à l’Océan Atlantique. En contraste de la grande ville riche et grandiose, il y a dans le quartier chinois des marchés de poissons et de fruits comme partout ailleurs.














Par la suite ont reviens en métro et " SURPRISE " le métro n’arrête pas à notre station, il continu. Ont crois qu’il y a une bonne raison et ont reviendra à pied, ont se prépare à descendre à l’autre station et " SURPRISE " il n’arrête pas. Il semble que nous sommes les seuls à ne pas comprendre pourquoi, il est probable qu’il y a des trains express qui sautent des stations ??? Finalement le métro arrête et nous rebroussons chemin en revenant avec le métro dans l’autre direction et nous sortons souper sur la terrasse du " 79TH street boat bassin Café " qui est devant la marina. Trés trés belle journée, il a encore fait très chaud presque 80ºF (26ºC). Nous revenons à notre maison flottante, transférer les photos dans l’ordinateur et se coucher. En arrivant au voilier, nos voisins nous invite à les visiter le lendemain, il ne quitterons pas avant quelques jours parce qu’il y a du mauvais temps dans l’air. Ont répond que nous ferons probablement de même.

Effectivement le temps se gâte alors ont attend. Ont s’occupe à écouter les nouvelles à la TV station locale seulement, recherche d’informations sur les rapports météo en HF, montage de vidéo, rédaction du blog, lecture des livres d’instructions des appareils électroniques pour mieux les connaître etc etc

Le lendemain ont sort faire l’épicerie au Westside Market, 2171 Broadway (quelques rues au Sud de la 79th Street), une expérience digne d’un autre monde. Comptoir de fruits et légumes sur le trottoir en plein New York, petites allées pas très large, petits paniers, plein de monde, touts ce qui existe en grande quantité, un comptoir de fromage à faire honte aux plus grands magasins d’alimentation du Québec, et des ingrédients qui nous étaient inconnus en considération de la diversité ethnique de New York. C’est un peu comme les épiceries de la rue du Parc à Montréal mais tous ensemble et en beaucoup plus grand. Au coin Nord-Est de l’intersection Broadway et 79th Street Christine à remarqué un magasin de vêtements hommes et femmes sur trois étages, les prix sont très raisonnable, j’y ai acheté des " jeans ", un sac à dos et une tuque (j’ai perdu la mienne, je crois qu’elle s’est agrippée au velcro de mon manteau et elle est tombée en quelque part), si vous partez pour longtemps en voilier, apporter deux paires de gants et deux tuques.
En revenant, ous visitons nos voisins Jean-Pierre et Denyse de Absaroque (Withby 42 pieds ketch à cockpit central) que nous avions rencontré à Waterford et le lendemain nous les invitons sur notre voilier. Nous discutons de nos plans et nous convenons de faire un bout de chemin ensemble. Ils ont plus d’expérinece que nous mais il semble aussi être sécurisé d’avoir de la compagnie. Le 29 sept, avec Absaroque ont quitte finalement la 79th Street Marina, c’étais pas cher $30/jour pour un mooring à New York mais nous étions en bordure de la Rivière Hudson ou il y a du trafic commerciale jour et nuit et les courants de marée. Une nuit en particulier ont c’est fait brasser assez pour se demander sans trop être sérieux " Qu’est-ce qu’ont faissait là ". Le 29 septembre, ont quitte vers 10 :00 hres AM et ont descend la Rivière, ont passe sous le pont suspendu Verrazano et ont entre dans le port de New York, un des ports les plus achalandés au monde selon notre guide, nous sommes à moteur avec le genois (grande voile avant), à travers quelques cargos et plusieurs traversiers (une dizaine incluant des gros water taxi) qui traverse dans touts les sens et qui ont priorité, ils font la navette entre le New Jersey et New York. Mais surtout, ont passe devant la Statue de la Liberté, c’étais pour moi " Pierre " un passage important de notre voyage, j’y pense depuis longtemps. Le plus difficile n’est pas fait mais au moins nous sommes arrivé ici sans vraiment de problème et avec un sentiment d’avoir accomplis quelque chose qui fait une différence dans notre vie.








Clicker sur le lien suivant pour voir le vidéo préparé par Christine, New York à Sandy hook : http://fr.video.yahoo.com/watch/3736448?fr=yvmtf

À la sortie du port de New York, Absaroque vas se mettre à l’ancre à Sandy Hook ou j’aurais voulu être aussi mais nous avons besoin de diésel alors nous avons continué jusqu’à Atlantic Highlands ou nous décidons de prendre un mooring, douche et service de navette de notre voilier jusqu’au quai de service, le grand luxe pour $45/jour. Christine n’avais pas bien dormis la nuit précédente et c’étais réparatoire avant de prendre la mer le lendemain.

L’Océan Atlantique, première expérience à venir………

Hasta luego