Annapolis à Norfolk

Back Creek Annapolis, le 20 octobre, on se réveille avec 9º C dans le voilier, moi qui avais déjà écrit il y a quelques semaines je crois, que 15ºC c’étais limite. Mais c’étais moins humide ce matin donc plus confortable, ou on s’y fait. Christine s’est quand même lever avant le soleil pour allumer notre chaufferette à l’alcool.


Préparatif d’usage, demande de rapport météo HF, écoute de météo VHF marine, vérification du moteur et ont lève l’ancre. Hier j’avais fait des essais de notre système LifeTag de Raymarine, ce sont des bracelets qui sont en communication avec un petite centrale électronique sur le voilier, si ont s’éloigne de plus de 30 pieds du voilier (si ont tombe à l’eau) toutes les alarmes du système de navigation sont déclenchées et le lecteur de carte indique la position longitude / latitude "homme à la mer " , dorénavant nous allons toujours porter ces bracelets. Nous quittons Back Creek, une rivière d’environ 1 milles nautiques de long et Christine prend sur vidéo la route complète pour tenter éventuellement de compter combien il y a de voiliers aux quais, sur des moorings et à l’ancre. C’est hallucinant, il doit y en avoir 5000 ici seulement et 75% sont des voiliers de très grande qualité. Voir vidéo préparé par Christine : BACK CREEK
Ont prend le large sur la Baie de Chesapeake et ont se dirige vers l’autre rive pour passer à l’Est de Polar Island. La Baie est envahie par des bateaux moteurs en quantité phénoménales, c’est comme à la sortie de l’écluse de Ste-Anne de Bellevue un samedi matin, pourtant nous sommes lundi. Christine mentionne que le BoatShow pour bateau moteur à fini hier et voilà la raison de cette ruée vers le Sud. Après avoir longé la rive de Polar Island, ont traverse le " Knapps Narrow " un petit canal de 0,6 milles nautiques de long d’une beauté exceptionnelle qui traverse " Tilghman Island " et nous fait économiser du temps. Il y a un pont à bascule qui a ouvert sur demande dès que j’ai contacté l’opérateur. Nous continuons notre route sur des rivières de plus en plus petites qui s’entrecroisent pour arriver à St-Michaels à 14 :00hres, Ont jète l’ancre, ont descend à terre faire une reconnaissance des lieux, une petite épicerie et ont reviens souper sur le voilier. L’architecture des maisons et des immeubles sur la rue Talbot qui est la rue principale est d’une très grande qualité, beaucoup de petits détails qui enjolivent les corniches, les fenêtres et les balcons, beaucoup de couleur tout en restant sobre.


















Et ils sont prêt pour l’halloween, voici un exemple à l’entré d’un magasin.
Mais surtout la condition impeccable de la majorité des immeubles même dans les petites rues. St-Michaels est évidemment une ville touristique avec de nombreuse boutiques et une rue principale très plaisante à marcher. Au retour, j’attache la pôle d’homme à la mer au bossoir côté tribord, elle était restée sur le pont depuis le départ, l’an passé elle était attachée au pataras mais nous avons maintenant un bimini.

Le 21 octobre Christine décide tenter sa chance pour attraper des crabes et voilà en très peu de temps un premier qui s’agrippe au morceaux de poulet qui sert d’appât.








Par la suite deux autres se sont joins, vite prend la photo avant qu’il me pince!!!




















Il fait environ 70ºF et après dîner ont sort visiter " St-Michaels winery " ou nous goûtons et achetons du vin, par la suite ont se rend au musée maritime qui très grand et très intéressant, ont y voit un ancêtre de Kai Keiki.






Pour les amateurs de course en voilier voici une photo de ce que vous pourrez essayer la prochaine fois, par contre ça risque de vous coûter cher de bière après la course.

Plus tard, ont se rend au café internet prendre nos messages et ont sort souper chez " Crab Claw " qui semble être le seul resto intéressant ouvert, touts les autres restos en bordure du port indique " fermé mardi et mercredi". De toute façon c’est un resto qui est très recommandé. Je commande des crabes bleus comme ceux que Christine à attrapés, la serveuse place un papier sur la table et après une entrée de crevette et une délicieuse petite salade, le festin commence après avoir lu les instructions sur mon napperon, les crabes sont servis avec un petit maillet en bois pour casser les pinces et un petit couteau.
Nous attendions du vent pour mardi et mercredi et bien il est arrivé en fin d’après-midi aujourd’hui, ont reviens au voilier avec un vent froid du nord et je n’ose pas me déshabiller pour me coucher au cas ou je devrais me lever rapidement durant la nuit. Nous couchons dans le carré ou c’est plus facile de regarder dehors pour voir si nous chassons sur l’ancre et vérifier le catamaran ancré plus nord et qui pourrait chasser sur nous. Le vent est de 10 à 15 nœuds avec plusieurs bourrasques un peu plus fortes et qui sont plus inquiétantes et c’est comme ça toute la nuit. Le voilier se balance un peu de tribord à bâbord mais nous ne bougeons pas. Je me promet qu’une autre fois j’activerai l’alarme de mouillage qui nous avertira si notre position vérifié par GPS excède la distance que nous avons déterminée. Pour ce type d’alarme, il est préférable de prendre la position de l’ancre et non du voilier, parce que le voilier peut se déplacer latéralement et même faire un 360º s’il y a changement de marée et nous ne voulons pas entendre l’alarme pour ce type de déplacement. Si on a 75 pieds de touée (distance entre l’ancre et le voilier) on peut tourner 75+30pieds (distance entre l’antenne GPS et l’étrave l’étrave du voilier) autour de l’ancre sans entendre l’alarme


Ont quitte le mouillage malgré l’avertissement aux petites embarcations qui se termine ce matin, nous serons vent arrière, c’est mieux que d’y faire face et si c’est trop inconfortable nous trouverons bien un abri. Il nous faut quand même environ 1 1/2hrs pour sortir sur Choptank River et par la suite se diriger vers le baie Shesapeake. Comme prévus le vent arrière et la vague étaient au rendez-vous, le voilier était rattrapé et soulevé par la vague courte arrière de 3 pieds sur la hanche, pas trop confortable mais ont s’y fait. Le vent arrière de 10 nœuds nous a permis de lever le genois mais ont voulais faire de la route alors le moteur est resté au travail. Un peu plus tard, la vague à diminuée et le parcours est devenu un peu plus confortable. Nos sommes arrivé à Solomons Island vers 14 :30hres et croyant que les copains du voilier Absaroque étaient devant nous, nous avons tenter de les rejoindre mais sans succès. Nous avons trouvé un ancrage dans l’extrémité de la rivière devant quelques marinas et une heure plus tard Absaroque se pointe derrière nous suivis de Zénith. ils étaient à Cambridge un peu au Sud d’ou nous étions.
Aujourd’hui nous avons poussé l’audace un peu en considération des conditions annoncées mais nous sommes bien content, nous prenons de l’expérience. À l a barre cette après-midi je me suis rappelé avoir déjà comparé la progression de mon entreprise au cheminement d’un être humain. D’abord toutes les incertitudes de la naissance, par la suite même si tout est bien en place, il faut apprendre à marcher et un peu plus tard à courir, et viennent les années d’adolescence alors qu’ont se crois invincible et qu’ont survis seulement si ont est prudent. Après avoir passé l’adolescente si ont se croit trop fin ont se plante dans de nouveaux pièges et ça continu ainsi jusqu’à l’age de maturité adulte qui n’est pas la même pour tous et possiblement quand ont est très vieux ont atteint l’age de la sagesse. Nous faisons de la voile depuis 2001 et malgré touts les cours théoriques et notre expérience de navigation, en toute humilité nous croyons être au niveau de l’ adolescence mais sans la tête folle et je crois que nous reviendrons de ce voyage en jeunes adultes bien établis et en contrôle de nos affaires.

Nous resterons à Solomons quelques jours parce qu’un orage est annoncé et pour cette raison nous prenons un mooring plutôt que de rester à l’ancre. Nous sommes suivis par Absaroque qui semblait y songer aussi et par la suite de Zenith qui n’aimait pas l’espace de mouillage ou ils étaient. Le coût est de $30 qui nous donne accès aux douches et Christine profite d’un bain ce qui est très très rare. IL y a un quai bien protégé pour les annexes et la marina met des bicyclettes à notre disposition et nous les avons utilisées pour aller à l’épicerie. Plus tard, ont reviens au voilier et je (Pierre) suis dans l’annexe pour l’attacher, et en me retournant j’aperçois un superbe cygne qui me regarde et semble attendre de la nourriture. J’appel Christine qui lui donne du pain, quelle belle visite, ça fait changement des canards.


Je profite du temps d’attente pour finir l’installation de la pompe d’eau de mer près de l’évier de cuisine, ça fonctionne très bien et Christine est très contente.

Samedi soir nous avons rendez-vous sur Zénith avec les amis de Absaroque ainsi que Pierre & Françoise de " Raksha " un autre voilier du Québec pour planifier la route pour les jours à venir car nous ferons route ensemble . Échange, discussions de tout et de rien , ont part demain matin 8 :00hres, si la météo est bonne et ont sera à l’écoute VHF 67 pour communications.

Le lendemain matin, nous et Zenith allons faire un pump-out à 7 :30 am et ont se met en route avec Absaroque, Raksha décide d’attendre ou de se diriger vers une autre destination. Ce matin la lumière de notre pompe de cale s’allumait et s’éteignait continuellement , croyant que la flotte était entre deux eaux pour utiliser l’expression je l’ai déactivée et je me suis écris une note pour me souvenir de la vérifier en arrivant ce soir. Nous avons passé une journée inoubliable, très peu de vent, pas de vague agressive et nous avons quand même levé les voiles pour en profiter un peu. Pas une vraie journée de voile pour les puristes, mais notre but est de voyager et de faire de la route. Nous quittons le Maryland et nous jetons l’ancre vers 3 :00pm à Mill Creek en Virginie et se disant qu’ont auraient dû planifier faire encore plus de route dans ces bonnes conditions .
Un peu plus tard, ont active la pompe de cale et " SURPRISE " elle sort de l’eau et de l’eau et de l’eau, ont se questionne sérieusement, qu’est-ce qui se passe. Je viens à peine d’installer une pompe d’eau de mer, est-ce qu’un joint de tuyau est défait ??? J’ouvre vite les compartiments et je vérifie, tout est correcte. Christine me dit avoir peut-être trop rempli notre réserve d’eau douce ce matin ou encore le réservoir est défectueux ??? non tout est correct. J’ouvre les trappes du plancher qui donne accès à la cale et je vois que l’eau à monté assez haut mais que la situation semble être sous contrôle pour le moment. J’ouvre le compartiment moteur et je trouve le coupable. C’est le silencieux qui retient l’eau de refroidissement qui a perdu son bouchon de purge. L’eau de refroidissement du moteur était donc en partie rejeté dans la cale du voilier et en partie par le tuyau d’échappement. Je crois que les gaz d’échappements du moteur et l’eau forme de l’acide sulfurique qui à probablement corrodé les filets de serrage du bouchon qui est en brass alors que le silencieux est en acier inoxydable ce qui augment le problème de corrosion, c’est à dire deux métaux différent en contact avec de l’eau. Ma première inquiétude est comment récupérer le bouchon au fond de la cale, ce n’est pas évident Je me glisse le haut du corps au-dessus du moteur encore chaud pour constater que le bouchon est tombé sur le joint d’étanchéité de l’arbre d’hélice " le shaft ". Je dois le récupérer du bout des doigts et faire attention pour ne pas l’échapper, ce qui est fait avec beaucoup de précaution. Effectivement je ne peux pas visser le bouchon à sa place, il n’y a pas assez de filet en bonne condition et je dois trouver une autre solution. Nous sommes à l’ancre en sécurité, nous savons quel est le problème il ne manque que la solution alors tout est sous contrôle. Réflexion, analyse des options en utilisant les matériaux que j’ai à bord pour réparer sans avoir accès à des services de réparations. Je conclu que je dois réutiliser ce bouchon plutôt que d’essayer un remplacement. Je dois remettre ce bouchon en place en le retenant en place mécaniquement et en conservant la meilleur étanchéité possible. Je vais utiliser du ruban adhésif caoutchouté , de la broche et du scellant. Ce n’est pas n’est pas mon style de réparation mais ici c’est le système " débrouille toi " voici ce que ça donne comme travail.

Après cette réparation, il est tard, ont soupe et ont planifient la route pour le demain en communication avec Absaroque et Zenith. Je laisse le scellant mûrir toute la nuit pour qu’il prenne bien la forme de l’ouverture et je ferai une vérification le lendemain matin.

Le lendemain le 27 octobre, le scellant à mûris, je vais serrer le tourniquet de broche qui retient le bouchon en place et je démarre le moteur pour voir comment ce comporte cette réparation. Tout semble correcte, aucune coulisse d’eau, faut dire qu’il n’y a pas une grosse pression mais je suis satisfait du résultat assez pour reprendre note voyage jusqu’à ce que je puisse trouver un atelier d’usinage capable de refaire un bouchon. Ont se met en route pour Fishing Bay en se questionnant un peu sur les conditions. Ont nous annonce 10 à 15 nœuds de vent Nord Ouest avec des coups de vent et des vagues de 2 à 3 pieds. Nous seront vent arrière ce qui est moins pire que vent de face et nous avons seulement 25 milles nautiques à faire alors ont y va. Ont s’est fait brasser pas mal, l’anémomètre à pointé 19 noeuds vent arrière et nous filions à 6.3 nœuds donc du vent réel de 25.3 nœuds, une autre coche d’expérience. Mais nous étions bien fier d’avoir contrôler le voilier aussi bien que nous l’avons fait. À deux reprises, j’ai vérifié la réparation de fortune sur le bouchon du silencieux et tout était sous contrôle. Arrivé à Fishing Bay près de Deltaville NC, le vent est toujours assez fort même dans le mouillage, ont jète l’ancre qui semble très bien prendre. D’autre navigateurs ont trouvés refuge dans la rivière Jackson à Deltaville mais il semble qu’ils sont exposés au même vent que nous et il y a moins de place d’ancrage disponible donc nous sommes mieux ici et nous restons.

Le lendemain ont nous annonce un front froid qui amènera encore du vent de 15 à 20 nœuds avec bourrasques de 40 à 45 nœuds, ont s’inquiètent tous de notre ancrage et ont réfléchis à l’option de prendre un quai. Nous avons le choix ici mais ont doit prendre de l’expérience pour les endroits ou nous n’aurons pas le choix. Sur la radio VHF, après analyse de la situation, et discussion avec Absaroque ont décide de maintenir le voilier sur deux ancres en considération que le fonds semble très bon. Même si ont a confiance en notre décision, je laisse la clef dans l’ignition du moteur, ont met une alarme de chasse d’ancre et une alarme sur l’anémomètre si le vent dépasse 25 noeuds pendant la nuit, et ont garde la radio sur le canal 67 pour être à l’écoute et s’entraider entre nous si quelqu’un à un problème. Nous décidons de coucher dans le carré plutôt que dans la pince et tout habiller près à sortir dehors en cas d’urgence. Zenith préfère la sécurité d’un quai et entre à la marina.

Malgré la prévision inquiétante, le vent à déclenché l’alarme deux fois pendant à peine 5 secondes et nous avons assez bien dormis. Le lendemain le calme est revenu même si ces vents violents avaient été annoncés pour deux jours. Nous avons profité de ce délai pour faire des mise à jours sur le blog, contacter les assurances pour demander si ont peut descendre plus bas que le 35 ième parallèle avant le 15 novembre, et nos sommes allé faire des couses en utilisant les vélos pliable que Absaroque gardent sur leur voilier etc etc. Le soir nous sommes allé à un 5 à 7 (jusqu'à 10 heures) sur Zenith et Nicole nous à fait cuir des crabes qu’elle à attrapés aujourd’hui dans le port. La météo semble acceptable pour demain mais selon les rapports que j’ai reçu par radio HF j’en doute. Ont décide de se contacter le lendemain matin à 7 :00 pour en discuter. Le lendemain nous écoutons la météo et comme prévu rien n’a changé à mon avis et le mauvais temps est encore au rendez-vous et nous décidons tous d’attendre encore.

Journée tel que prévu, un peu froid au vent de travers de 5 à 12 nœuds mais ont lève les voiles et assisté du moteur ont file à 7 nœuds en avant-midi. Plus tard le vent vient du Sud et nous affalons mais il n’y a pas de vagues et la route est très confortable. À un moment précis j’ai compté 21 voiliers incluant nous trois, et tous se dirigeait dans la même direction. Nous en avons perdu en route pour d’autres mouillages et quelque uns ont possiblement continué pour entré à Norfolk qui est tout prêt. Nous arrivons au mouillage sélectionné à Hampton et nous sommes seuls. Sans vent, il fait 20ºC et nous prenons une douche dans le cockpit. Ont soupe ont parle avec les copains de l’horaire pour demain , mise à jour, ménage etc et ont se couche sur deux oreilles.

Le lendemain, 1er novembre ont sort avec les copains de Absaroque et Zénith pour visiter le " Air & Space center de Hampton " ont laisse les annexes sur la rive bien barrées et ont marche environ 45 minutes. Au retour, ont quitte le mouillage et après 2 1/4 hres de route ont jète l’ancre à Norfolk. Nous resterons ici quelques jours pour refaire l’épicerie et visiter. Nous allons récupérer notre courrier lundi chez UPS, alors le départ de Norfolk est prévu pour mardi matin.
Le 2 novembre nous sortons en fin d’avant midi pour allé dîner sur une terrasse du port et par la suite ont visite le USS Wisconsin, le plus gros navire de guerre construit aux Etats-Unis, nous sommes désolés de ne pas pouvoir visiter l’intérieur, mais les dimensions du pont et des canons sont assez impressionnant.

Nous sommes maintenant sortis de la Baie de Shesapeake et nous sommes entrés sur le continent dans de port de Norfolk qui est immense, il semble y avoir beaucoup d’activités commerciales en plus d’être semble t’il le port le plus important de la marine américaine. Nous devons garder nos distnce des navires de la marine mais nous devons circuler dans le chenal en gardant le centre libre pour les gros navires commerciaux lorsque nous passons vis à vis un navire de la marine, il y a toujours un garde avec un bateau gonflable qui patrouille et qui surveille. Il est certainement en contact avec d’autres soldats armées qui sont près à intervenir très rapidement en cas de besoin. Demain nous aurons le choix de passer par le Virginia Cut ou le Dismal Swamp Canal que nous voulons tous emprunter pour faire entre autre un arrêt à Eliasabeth City ou les navigateurs reçoivent semble t’il une bienvenue à ne pas manqué.
Je termine en faisant un rapport sur le fonctionnement des équipements du voilier. Tout fonctionne très bien, le moteur n’a plus de baisse de régime il semble par contre brûler de l’huile ce qui est nouveau , le réfrigérateur garde les aliments très froid, ont arrive même à faire des cubes de glace, les batteries sont toujours pleine, le plus bas qu’elles sont descendus est 12.46 volts qui est quand même 80% de la charge maximum, le panneau solaire nous donne jusqu’à 8 ampères dans de bonne conditions d’orientation et le bossoir qui permet de soulever l’annexe sans enlever le moteur, ce qui est d’une valeur inestimable , la génératrice fonctionne sur demande sans broncher , et pour le moment le système de navigation électronique (radar, lecteur de carte, anémomètre et profondimètre) et les radios VHF et HF fonctionne très bien. Je doit rajouter que le voilier nous à démontré de quoi il est capable, c’est nous qui avons dépassés nos limites.

Quelques chiffres pertinents.: nous sommes maintenant au 53 ième jour de notre voyage et nous avons parcourus 747 milles nautiques en 146 heures de navigation.

Le Dismal Swamp Canal et la Caroline du Nord à venir…….


Hasta luego.

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